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Création d’une miellerie pour 200 ruches, sur un terrain agricole de 0,32Ha (3200m2), tout en pente, face au Mont Blanc, nous aimerions, avec mon ami, concevoir et construire une ferme apicole pour produire et transformer le miel.
La capacité du bâtiment doit correspondre aux 200 ruches. Les ruches seront transporter dans les différentes coins de la montagne autour de la ferme. L’idée est de produire le miel de fleurs de montagne, de sapin, de châtaignes, de lavande, etc.
Pendant la haute saison nous aimerions accueillir des salariés et des volontaires pour nous aider (4 personnes en plus). Il faudrait donc prévoir une chambre ou deux pour dormir ainsi qu’une salle de bain/wc. Il faudrait aussi prévoir un bureau avec un ordinateur et Internet. Il faut que le bâtiment puisse avoir une cuisine pour transformer le miel en bonbons, en pain d’épice, récolter du propolis et la gelée royale ainsi que le lieu pour un stockage en attendant la livraison.
Nous aimerions que la miellerie soit la plus écologique possible. Le terrain possède déjà une petite source d’eau, mais il n’y a pas d’électricité. Il est possible, par contre de se connecter à la canalisation des égouts. Il faut prévoir alors un bâtiment plutôt passif ou presque et avec une production d’énergie solaire, le terrain est exposé plein Sud.
Objectifs
- Construire une ferme : miellerie plus logement (pour des saisonniers) et un bureau.
- Fabriquer du miel et des produits dérivés à base de miel.
Livrables
Les livrables du GdP-Lab seront réalisés principalement le temps du parcours par équipe (Fiche de définition, Dossiers de cadrage et de montage), les livrables du projets souhaités par le porteur d’idée pourront être finalisés après le GdP-Lab :
- Chiffrer tous les coûts, faire une étude de la concurrence,
- Créer des logos et la charte graphique,
- Faire un appel à un architecte, faire des croquis, se pencher sur les solutions énergétiques existantes, …
- Pour enfin rendre un Business Plan.
Porteur de projet
Inga Korolczuk
Avec mon ami, nous avons acheté le terrain en montagne pour se reconvertir en métier d’apiculteurs. Nous ne sommes pas des agriculteurs d’origine mais nous avons entrepris une démarche auprès de l’administration pour en avoir le statut. De formation je suis chargée de communication et marketing et mon ami est un guide de haute montagne. Tous les deux nous avons été élevés à la campagne et nous avons extrait du miel dans les mielleries familiales.